L'hiver du monde.
Ô toi, pertinente lumière des esprits, hâle ma pensée,
Que de ta sagesse inouïe, mon âme soit ensemencée.
Loin de ce murmure nauséabond et inassouvi,
Qui s’immisce perfidement dans nos petites vies.
Partout, miasmes d'une xénophobie délétère,
Scandant opinions toxiques, où la haine vocifère.
Vague brune aux relents putrides,
Niant refuge aux pauvres apatrides.
Retour d'une idéologie de fureur,
Qui ne peut rimer qu'avec horreur.
Sacrifiant toute empathie à nos frères de couleurs,
Sur l'autel d'une ignoble " pure race " de malheur.
L'humanité ne sera-t-elle donc jamais camarade,
Définitivement débarrassée de ces voix nasillardes ?
Niant l'interracialité, mais louant une blanche consanguinité,
A bien des lieues, du balbutiement de la moindre solidarité.
Qui connait encore le nom d'Anne Franck, peu de monde ?
Cette gracile mais courageuse victime de l'immonde.
Qu'elle soit pour toujours en somme,
La martyre de la bestialité de l'homme.
En ces temps de jours sombres et atrophiés,
Qui sait encore conjuguer le verbe "AIMER" ?
A l'heure d'un paroxystique égoïsme généralisé,
Qui fait simplement oeuvre de fraternité ?
Il n'est que trop patent qu'une nazi-nostalgie,
Rôde entre les lignes pour en faire l'apologie.
Enlisant d’innombrables simple d'esprit,
Dans des clichés malsains à bon prix.
Quand pourrons-nous affirmer, qu'ici et ailleurs culmine l'altruisme,
Mettant un véritable point final, à cette tare nommée " RACISME " ?
Février 2014.
tré bonne poésies qui nous pousse a la reflexions , et une bien meilleur perception que notre chère télévision qui , de mon point de vue , endoctrine les population , merci
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