5 mai 2015


Confession ailée.


Difficile d'ignorer que je me consacre beaucoup (trop ?) à mon jardin, qu'il est pour moi une source essentielle d'équilibre, de joie, de parfum, d'inspiration, gonflé de moult découvertes bienfaitrices ou pas !

Mais aujourd'hui, face à ceux qui afficheraient ouvertement et sans aucune vergogne, le franc désir de vouloir le visiter, je dois vous avertir de ceci : Attention, mon espace vert est dorénavant protégé !?!

Comment cela se fait-il ?

Parce qu'il a depuis quelque temps, un état de fait indéniable, une constatation basique.
Le nier, serait se compromettre.
Disconvenir s'inscrirait en faux.

Dehors tous négationnistes !
Ici la simple observation sert de preuve.
Nulle contestation viable, l'évidence crève les yeux.
Le doute s'enfuit sans possibilité de retour.
La vérité ne peut que s'installer avec clairvoyance.

Je devine ici, mes pauvres lecteurs s'inquiéter de ma santé mentale, devant ce déballage de lapalissades. Pas de soucis, il s'agit tout simplement d'un préambule ampoulé, afin de faire d'une banalité : une originalité !  (Chacun ses méthodes)

Laquelle ?

Il est clair que devant le nombre pléthorique d'oiseaux d'espèces différentes venus vivre dans modeste espace végétal : Le bienheureux rouge-gorge, le flamboyant chardonneret, l'amusante grive, le ténébreux merle, le sympathique moineau, la royale mésange, la mystérieuse fauvette, le délicat pinçon, le riquiqui colibri, le sulfureux étourneau, la bavarde pie, le trop rare pic-vert... et que sais-je encore, une conclusion s'impose à mes yeux : maintenant, mon jardin boisé est devenu : une réserve ornithologique !!!


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